Ces temps troublés, suite à la crise du coronavirus, montrent des troubles particuliers en matière de respect du droit de l’environnement et de celui des océans. En mars, on reconnait le préjudice écologique dans une affaire de braconniers du Parc National des calanques, en avril on détricote le droit de l’environnement par un droit de dérogation donné en catimini au préfet. Une absence de cohérence entre Dr .JEKYLL et Mr.HYDE … A découvrir dans cette chronique.

D. KRUPKA

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